« La gynécomastie, c’est littéralement de la poitrine chez un homme ! Non seulement c’est possible, mais en plus c’est très mal vécu et beaucoup d’hommes concernés ignorent que cela s’opère très bien »
Que ce soit chez le jeune homme, chez l’homme un peu rond, ou chez l’homme mince, il y a plusieurs présentations. La conséquence est la même : pas de situation torse nu et pas de tee-shirt moulant… Et une vraie souffrance psychologique. L’objectif lorsqu’il existe un sein chez l’homme est d’éliminer le volume en trop que ce soit lié à de la graisse ou de la glande.
Dans le traitement de la gynécomastie, il y a 2 possibilités :
Dans les 2 cas la cicatrice est très discrète.
Avant l’opération de la gynécomastie, l’emplacement de la cicatrice sera précisé pendant les consultations préopératoires. Le médecin anesthésiste devra être vu en consultation environ une semaine avant l’intervention. Ce dernier prescrira éventuellement une prise de sang.
Une hospitalisation ambulatoire (la journée seule) est nécessaire (plus rarement une nuit à la clinique après l’intervention). Si cela a été nécessaire, le drain pour éviter l’hématome est retiré avant le départ. Les suites opératoires sont rarement douloureuses.
Les pansements sur les cicatrices sont à refaire tous les 2 à 3 jours pendant dix jours.
Il faut le plus souvent porter un gilet moulant pendant 15j pour plaquer la peau.
Les consultations postopératoires se font au cabinet, environ quinze jours après l’intervention, puis à 2 mois et à un an.
Non, si le poids est stable. Très peu si l’on grossit beaucoup (mais disparaît en re-maigrissant)
Tout dépend s’il s’agit d’une adipomastie ou d’une gynécomastie. Après examen clinique précis, votre chirurgien plasticien vous remettra un devis.
Dans tous les cas, il s’agit d’une chirurgie légère, on peut donc y associer une liposuccion plus large, sur d’autres zones (ventre, poignets d’amour), ou une chirurgie du visage comme la blépharoplastie par exemple.